L’esclavage a toujours existé, que ce soit à Georgetown, en Palombie, ou dans les terres Atlaxis.

Les peuplades natives s’adonnaient déjà à ce commerce, bien avant l’arrivée des colons, même si, dans la pratique, cette forme d’esclavage relevait plus du religieux que d’autre chose.
Ainsi, les premiers échanges commerciaux entre colons et natifs incluaient déjà des esclaves.
 
Plus la colonie grandissait, plus le besoin de main d’œuvre était important pour défricher les terres sauvages.

Si le recours à la main d’œuvre servile était, à ses débuts, une mesure pratique, ce ne fut très rapidement plus le cas.
Plusieurs propriétaire terriens firent bientôt fortune avec la traite ou l’exploitation d’esclave. Avec la demande, le commerce se développa. Bientôt, des compagnies spécialisées dans la traque de natifs virent le jours. Que ce soit dans les plantations, les grand chantiers, ou les haciendas Palombiennes, les esclaves étaient partout. 

Mais ce fut bel et bien le retour au pouvoir de la couronne Tyrandienne qui rendit l’esclavage aussi primordial pour le développement des colonies. Les grands arrivages, dû à la situation précaire des terres impériales, furent une manne inespéré pour la Géorgie.

Le gouverneur fraîchement installé par sa majesté promulgua « Le code servile » qui encadrait et légalisait cette pratique parfois controversée.

Aujourd’hui, la main d’œuvre servile est à la base de l’économie géorgienne. Qu’ils soient propriétaires terriens, marchands ou chasseurs d’esclaves, nombreux sont ceux qui ont fait fortune grâce à ce commerce.